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A lire seulement si vous avez un moral à toute épreuve.
La Situation Française:
40 ANS D’ÉLITES FRANÇAISES : BILAN D'UN DÉSASTRE par Jacques GUILLEMAIN Ex-Officier de l'Armée
de l'Air-Pilote de Ligne :
Depuis 40 ans, les Français ont le grand malheur d’être gouvernés par les “élites” les
plus incompétentes et les plus irresponsables du monde occidental.
Et je pèse mes mots, tant l’effondrement du pays, en une seule génération, est effarant.
Ces bons à rien qui ont la prétention d'avoir la science infuse, ont réussi l'exploit de faire
de la deuxième puissance mondiale en 1980, un pays ruiné en voie de
sous-développement.
La génération Mitterrand et suivantes n'ont pas connu l'âge d'or des Trente Glorieuses et ignorent
qu'en 1975, la France était la deuxième puissance économique mondiale, derrière les États-Unis.
La Chine en était encore au Moyen Âge, tout juste capable de fabriquer des cerfs-volants
et des lampions. L’Allemagne, encore coupée en deux, et le Japon, ne s’étaient pas
encore relevés totalement de la guerre.
L’Angleterre restait minée par des syndicats corporatistes dévastateurs, jusqu’à leur mise
au pas par Margaret Thatcher, la providentielle “Dame de fer”.
La France était à la pointe de toutes les technologies, avec son nucléaire civil et militaire, son
TGV, ses paquebots géants, ses sous-marins nucléaires,ses Mirage vainqueurs de la
“guerre des Six Jours”, Ariane, la Caravelle…
Avec une croissance de 5 à 6 % pendant trente ans, elle ne connaissait ni chômage, ni
insécurité. Jamais la France n’avait connu une telle explosion du niveau de vie.
Son immigration européenne ne demandait qu’à s’intégrer, les Italiens, les Espagnols et
les Portugais épousant des Françaises et donnant des prénoms français à leurs enfants.
Les jeunes ne savent pas non plus qu’en 1980, les Français avaient le cinquième niveau de vie au
monde, derrière les USA, et trois petits pays privilégiés, la Suisse, le Luxembourg et la Suède.
Bref, la France des Trente Glorieuses était un véritable paradis et le pitoyable épisode de
mai 68, éminemment politisé, avait été effacé en quelques mois. La croissance repartait
de plus belle, au grand étonnement du monde.
Mais en quelques décennies, tout cela a été balayé, tout l’héritage du général de Gaulle a
été dilapidé par des équipes de fossoyeurs de la nation, de droite comme de gauche.
Tous, sans aucune exception, ont participé à cette gigantesque entreprise de démolition,
faisant de la France un pays ruiné, désintégré, islamisé et parmi les plus dangereux du monde occidental.
De cette époque bénie il ne reste qu’un champ de ruines. Mondialisation, immigration, gabegie,
incompétence, trahisons et lâchetés des uns et des autres, ont tout emporté.
L’école est en plein naufrage.
Celle-ci, qui faisait notre fierté depuis Jules Ferry, n’est plus un sanctuaire de la
transmission du savoir, mais un espace de plus en plus islamisé, où règne l’insécurité et
où se propage la haine de la France.
En 2004, le rapport Obin tirait la sonnette d’alarme sur la dangereuse islamisation de
l’école républicaine. Mais le frileux François Fillon, alors ministre de l’Éducation
nationale, s’est empressé de l’enterrer. “Nous avons perdu 20 ans”, dit aujourd’hui
l’ex-inspecteur général Jean-Pierre Obin.
Au classement Pisa, nous reculons dramatiquement à chaque nouvelle étude.
L’Éducation nationale devient une usine à cancres, où un bachelier ne maîtrise même plus la langue de Molière.
Notre industrie est laminée .
Hautement performante en 1975, elle a perdu 3,5 millions d’emplois, passant d’un effectif
de 6,2 millions à 2,7.
Et la part de l’industrie dans le PIB a chuté de 25 % à 10 %. La France détient ainsi le bonnet
d’âne de l’UE.
Nous avons tout vendu ou délocalisé, comme l’a prouvé la crise sanitaire.
La mondialisation n’explique pas tout, car nos voisins ont tous fait mieux que nous.
Le secteur agricole est en alerte rouge !
Troisième exportateur mondial en 2005, la France a été rétrogradée au sixième rang,
derrière les États-Unis, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Brésil et la Chine !
La part de l’agriculture dans le PIB est passée de 6 % à 3 % depuis 1980.
En 2023, la France risque de devenir importatrice de produits agricoles !!
Les incapables aux commandes ont écrasé nos paysans de charges, de taxes, de
règlements, de normes environnementales et sanitaires qui ont tué le monde agricole.
Notre agriculture, mondialement reconnue, n’est plus compétitive.
Et nos paysans vivent avec 350 euros par mois , pendant qu’un seul mineur isolé coûte
50 000 euros par an au contribuable (4166€ par mois) !
Le secteur de la santé est au bord de l’implosion
Plus besoin de faire un dessin pour parler de l’effondrement du modèle sanitaire français,
qui faisait notre fierté depuis des décennies.
On a vu où menait la fermeture des hôpitaux, la suppression de lits par dizaines de
milliers, la baisse des effectifs.
Nos soignants ont affronté le Covid-19 sans masques, sans blouses, sans gants, sans
respirateurs, sans tests, sans médicaments. Beaucoup ont payé de leur vie l’incurie
et l’imprévoyance du pouvoir.
Et on apprend aujourd’hui qu’ils devront payer leurs masques !!
Le modèle de santé qui se croyait le meilleur du monde a dû euthanasier ses vieux faute de moyens
et faire appel aux voisins étrangers pour soigner les patients. Une médecine de guerre inhumaine.
Le réseau SNCF est en lambeaux
Sans entretien, avec des retards et des pannes multiples, ce service public, ex-fierté
nationale, cumule une dette colossale de 47 milliards, dont 35 repris par l’État.
30 % du réseau sont à remettre en état, après des années de “tout TGV”
La défense est en déclin depuis 60 ans
Avec un budget égal à 1,35 % du PIB, nos soldats font la guerre avec des matériels
vieux de 40 ans. Derrière la vitrine diplomatique du porte-avions Charles-de-Gaulle, il y a la misère.
En 1960, avec la guerre d’Algérie, les effectifs atteignaient 1 million de soldats avec un
budget porté à 5,44 % du PIB.
En 1964, les effectifs chutaient à 675 000 hommes et en 2020 on tombe à 270 000
personnels dans les armées.
La police est à l’abandon
Avec des locaux vétustes, des guimbardes affichant 300 000 km au compteur et en
sous-effectif permanent, nos policiers doivent s’équiper à leurs frais.
Abandonnés par le pouvoir et persécutés par la hiérarchie et la justice, ils sont au bord de l’implosion
eux aussi.
Insécurité. Là c’est le pompon !
Celle-ci a été multipliée par 5 depuis les années soixante. Cette insécurité, nous en
avons importé la majeure partie et l’avons cultivée par le laxisme judiciaire.
La France est le seul pays au monde où les commissariats sont attaqués et où les policiers, toujours
présumés coupables, ont peur de tirer pour sauver leur peau !
Et 120 attaques au couteau par jour, la plupart passées sous silence, par une presse aux ordres,
indigne d’une démocratie.
Quant à la justice du “mur des cons” , inutile de compter sur elle. Elle privilégie une
réinsertion improbable à une sanction certaine. Avec Dupond-Moretti, c’est l’apothéose !
Dette de 3 000 milliards fin 2020, avec un PIB en chute libre. 120 % à 130 % du PIB d’endettement, un
record.
La France, pays de l’OCDE le plus écrasé d’impôts, est aussi le pays le plus endetté,
derrière le Japon et l’Italie. Un véritable exploit. Plus on paie, plus les caisses sont vides.
Il est vrai qu’il faut financer le coût de l’immigration, avec des millions d’immigrés
dont la contribution au PIB ne compense pas leur coût social.
Le coût réel de l’immigration dépasse allègrement les 120 milliards par an.
À 50 000 euros le mineur isolé, et on en a 60 000 en 2020, qui peut encore nier que l’immigration
nous ruine ?
Une immigration dévastatrice.
Alors que le pays s’effondre, surendetté et écrasé de chômage, avec 9 millions de
pauvres, Macron ouvre les frontières comme jamais. Ce sont 500 000 immigrés qui entrent
chaque année en France, alors que le chômage explose.
Le solde démographique naturel, c’est-à-dire les naissances moins les décès, est de
140 000 nouveaux-nés, dont une bonne partie d’origine immigrée.
L’immigration est donc trois fois plus importante que les naissances. Qui ose nier que le
Grand Remplacement est en marche ? Qui peut démontrer, chiffres en mains, que c’est un fantasme
populiste ?
276 576 visas longue durée, + 6,8 %
132 614 demandeurs d’asile, + 7,3 %, dont aucun débouté ne repartira
40 000 mineurs isolés, dont la moitié sont des fraudeurs majeurs
Des dizaines de milliers de migrants clandestins, venus majoritairement d’Afrique et du
Maghreb.
Une explosion de l’islamisme qui va tout emporter.
La partition du pays est en marche sans la moindre prise de conscience des autorités.
Le plan contre le séparatisme ne risque pas de traumatiser les barbus.
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La France bientôt sans assez d'électricité ?
Depuis quarante ans, c’est-à-dire depuis la fin de la présidenceGiscard d’Estaing, la France est exportatrice d’électricité.
Vitrine de l’excellence française, jamais le moindre problème,jamais le moindre accident. Et une électricité parmi les moins chères
du monde.
Ah mais ! Il fallait que cela cesse. On a arrêté d’autorité les deuxréacteurs de Fessenheim qui fournissaient 75 % de l’électricité
d’Alsace-Lorraine.
Et aujourd’hui zéro.
Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’ilallait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert
une petite ville où le bonheur était palpable. »
Mais aujourd’hui, alerte rouge. Le 19 novembre, sur BFM TV,Barbara Pompili, notre géniale ministre de la Transition écologique,
ne dit pas qu’il va y avoir des coupures d’électricité cet hiver, mais
qu’elle va « avoir recours à une certaine régulation ». Elle précise
qu’elle « travaille » (?) avec les industries pour qu’elles puissent
arrêter leur production à certains moments.
On ne saurait être plus hypocrite.
Car, en réalité, RTE, le gestionnaire du réseau, a annoncé, s’il faittrès froid, des coupures tournantes de deux heures par paquets de
200.000 foyers ou plus.
Tel est le résultat de la fermeture de Fessenheim.
À ce niveau de bêtise (je parle de M. Macron), les bras noustombent, mais Mme Pompili va le battre sur le poteau.
Car elle a annoncé, en outre, qu’elle « travaille avec EDF pourreplanifier les arrêts de centrales »
(sous-entendu centrales nucléaires).
Donc, elle annonce dans la même phrase qu’on va manquer d’électricité et qu’on va fermer d’autres centrales nucléaires.
Répétons quelques vérités que les béotiens du château ignorent :
1) Le nucléaire n’émet aucune fumée, aucun gaz à effet de serre.
2) Le nucléaire prouve tous les jours, en France, depuis quarante ans, qu’il est décidément très sûr.
3) Il est pilotable, accélère ou ralentit selon les besoins.
4) 1 gramme d’uranium produit autant d’énergie qu’1 million degrammes de charbon ou de pétrole, donc, en vertu de la loi de
Lavoisier, émet 1 million de fois moins de déchets. Tous les déchets
(200 tonnes par an pour 70 réacteurs) sont récupérés et non pas
dispersés dans l’environnement.
5) On sait recycler l’uranium au sein d’un surgénérateur, ce quipermettrait d’avoir 1.000 ans de réserve d’énergie. La France avait
les meilleurs ingénieurs et était la plus avancée dans ce domaine,
mais un certain Jospin a fait fermer Superphénix à Creys-Malville.
6) Dans l’histoire de l’humanité, aucune énergie n’a fait moins demorts que l’énergie nucléaire, que ce soit par accidents ou par
pollution de l’air.
Le vrai défaut du nucléaire, c’est qu’il ne rapporte rien aux grandesentreprises transnationales.
Ces grandes entreprises ont tout intérêt à casser les centralesnucléaires pour les remplacer par n’importe quoi qu’on aille proposer
aux naïfs.
Ainsi, en Allemagne, les associations écologiques ont passé un pactefaustien (et rémunéré) avec le tout-puissant cartel du charbon et de
l’acier et ont fait renaître une colossale industrie du charbon dont
personne ne se scandalise.
(nous avons fermé nos centrales électrique à charbon merci Merkel)
Ainsi, en France, ces mêmes associations ont obtenu un programmedélirant d’éoliennes et de photovoltaïque dont la Cour des comptes a
écrit que son coût était faramineux et son résultat dérisoire en
termes de production d’électricité.
Elle aurait pu ajouter : et nul du point de vue du réchauffementclimatique, puisque l’électricité française est déjà décartonnée.
Non, vraiment, les écolos c’est le pays des fous.
Jean-Marc Frenove
Économiste et spécialiste des énergies.
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Tout commença de fort belle manière sur un joli voilier de la vilaine. Un plaisancier
plaisant conviant à son bord un matelot qui était en carafe, loin de son port d'attache.
Pour répondre à l'invite, le vagabond des rivières s'en vint vers son hôte flanqué d'un
lorrain. La chose peut paraître surprenante à qui ne connait rien à la chanson
traditionnelle quant aux autres, ils apprécieront l'état de confusion mentale de ce curieux
personnage.
C'est un duo qui se présenta sur le ponton, armé des meilleures intentions et bien décidé
à profiter de l'air du large. Si la notion peut amuser des gens de l'Océan, pour les marins
d'eau douce, quitter la berge est toujours une aventure qui du reste n'est jamais sans
écueil, chausse-trappes et menu incident dont la nature échappe aux navigateurs salés.
Ce n'est pas parce que les flots manquent de saveur que la bordée n'est pas épicée.
L'hôte, homme charmant au demeurant, ne se doutait pas qu'il venait de tendre la main à
un chat noir de la pire espèce, un être dont rien pourtant n'indiquait qu'il allait
chambouler l’ordonnancement habituel de la traditionnelle virée au large. Il ne faut jamais
jurer de rien quand on attire le diable à l'aqueux. Mais suivons nos lascars à pas de
velours pour ne pas perturber le cours des événements.
Tout débuta de fort agréable manière. Le Malin sait se montrer courtois tout en
dissimulant son pouvoir maléfique. Aux salutations chaleureuses succédèrent les
préparatifs pour larguer les amarres et jouir pleinement d'un spectacle qui s'annonçait
fort agréable. Un soleil enchanteur s'étant convié pour faire bonne mesure.
Le capitaine s'installa à son poste de pilotage, une fois toutes les vérifications effectuées.
Tout semblait se présenter sous les meilleurs auspices d'autant qu'un côte de Beaune fut
libéré de son entrave pour participer à la fête. Il n'y avait plus qu'à mettre le contact,
lancer le moteur qui permettrait de quitter le ponton avant que de larguer les voiles.
Le moteur refusa obstinément de ne serait-ce que tousser un peu. Il resta sans voix en
dépit de toutes les mesures de contrôle indiquées dans le manuel du parfait plaisancier.
Après une multitude de manipulations, de vaines tentatives, force était de constater que
le voyage escompté sera parfaitement immobile, ce qui, d'après les poètes et les rêveurs,
est la plus belle manière de s'évader.
La conversation remplaça la navigation tout en s'offrant le luxe de bien des détours sur
les canaux et les rivières de l'Europe du Nord. La bouteille, une fois vidée ne fut du reste
pas jetée à la mer, l'équipage n'étant nullement en détresse. Tout se déroulant de la plus
belle des manières sans avoir à tenir le cap. L'incident serait vite oublié et la partie remise
après un contrôle mécanique quand l'effet du vin sur la vessie du chat noir entraîna une
voie d'eau à bord. Même sans rencontrer d'obstacle, le bon diable réussit l'exploit de faire
déborder le vase : (en la circonstance, le wc de bord, attestant une fois encore, qu'il est
un expert en la chose).
C'est donc une semaine plus tard que l'inconscient marin remit le couvert pour honorer
sa promesse. Le porteur du mauvais œil vint cette fois flanqué de deux diablotins pour
mettre en péril la sérénité à bord. Le vent était de la partie, la voile serait larguée tandis
que la tempête soufflait à bord. Il est des navigateurs qui ne redoutent rien, pas même les
oiseaux de mauvais augures.
Le moteur remplit sa mission, plaçant le voilier au milieu du flot, près pour la remonte
sous voile. La prudence étant malgré tout bonne conseillère seul le génois fut lancé,
assurant malgré tout une avalaison des plus satisfaisantes. La mauvaise impression de la
fois précédente s'était envolée, le vent de Galerne éclairant non nos lanternes mais les
yeux des petits passagers.
C'est lorsqu'il fallut empanner qu'un grain de sable se remit dans les rouages. En dépit de
tous les recours de la mécanisation, le génois refusa de s'enrouler. Il y avait du tirage
dans la corde à nœud ou pour le moins un hic dans la mécanique ad-hoc. Chacun de
s'évertuer à tourner une manivelle qui n'avait pas le moindre effet. L'obstination en la
circonstance n'est certes pas garante de succès, bien au contraire.
Le bateau filait toujours vers l'amont tandis que son équipage entendait s'en retourner.
Il fallut quelques numéros d'équilibristes afin de démêler ce qui n'aurait jamais dû
s'entortiller de la sorte. Une erreur incompréhensible si l'on refuse de croire aux ondes
négatives de certains individus. L'embrouillamini oublié, le retour pouvait se réaliser au
moteur, sans risque cette fois de nouvelle contrariété.
Il ne faut jamais vendre la peau du chat noir avant que de l'avoir totalement dépouillé de
ses oripeaux sataniques. C'est à l'approche du ponton que le Malin se rappela à
l'équipage, lui refusant la manœuvre d'accostage. Le vent qui avait poussé l'expédition se
mettait désormais en travers de la coque et de sa marche arrière. Panique à bord ou pour
le moins inquiétude. Il ne ferait pas bon jouer aux auto-scooters dans un port de
plaisance affichant complet.
Les tentatives s'avèrent toutes vaines jusqu'à ce qu'un plaisancier recommande une
toute autre manœuvre. C'est par la proue qu'il fallait accoster, la poupe faisant sa
mauvaise tête, ce qui du reste ne lui ressemble guère. Là encore, ce ne fut pas sans mal
tandis que le chat noir, juché sur le pont avant montrait avec application l'immensité de
son incompétence. Il y eu bien un petit choc pour achever la manœuvre tandis que le bon
voisin suppléait aux carences du ligérien diabolique.
Cette fois, c'est promis, le capitaine plaisant se gardera bien de convier à nouveau ce
triste sire, beau parleur certes mais piètre navigateur et qui plus est, porte poisse notoire.
Son expédition aurait pu rester secrète mais l'homme, en marin avisé, a souhaité la
partager afin que nul, à l'avenir, s'aventure à convier à son bord, ce suppôt de Satan,
marinier à pieds crochus si prompt à tirer le diable par la queue. Le chat noir existe, il est
plus prudent de l'écarter du pont.
C.N
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Expert de l’OMS comparant la variole du singe en Afrique et en Occident./Covidemence
Stupéfaction stupéfiante ! Les experts de l’OMS viennent de comprendre qu’il y a une
couille dans le potage simiesque.
Et de taille.
AFRIQUE
-Variole du singe endémique depuis 50 ans. Infectés : hommes 60 %, femmes 40 %.
“L’homosexualité n’a jamais été un indicateur particulier“.
OCCIDENT
-Aucun cas avant… Et subitement depuis mai, plus de 25 000 infectés dans 70 pays, et à
98 % des homosexuels masculins.
Il en aura fallu du temps (3 mois) à ces clowns pour comprendre que quelque chose
clochait...
-Soit ce n’est pas le même virus (le Covipox est différent de la “variole du singe”
africaine. Il a 50 mutations et personne n’est capable d’expliquer leur présence ni leur
fonction alors que les virus DNA mutent très lentement).
-Soit, les Occidentaux (et d’autres pays) ont quelque chose en plus... que les Africains
n’ont pas. Ou en moins ?
-Ou encore, des traitements anti-HIV sophistiqués qui pourraient interagir avec le virus ?
Rappelons que de nombreux gays en Occident utilisent désormais
des médicaments dits "PrEP"… en prévention du HIV ! Des molécules qui ne doivent pas
être très répandues en Afrique…
Et comme par hasard, une large part des covipoxés homosexuels utilisent ces traitements
préventifs (selon les données britanniques… les covipoxés séronégatifs les utiliseraient
à 74 %).
-Soit, dernière hypothèse, un mélange de tout cela ? (ce qui semble l’hypothèse médiane,
la plus rationnelle).
Comme le dit un scientifique israélien (une pointure qui a lui même été blessé par les
produits ARNm)… une telle flambée après les campagnes massives d’injections… “ce
n’est pas une coïncidence“.
Ce n’est pas un accident de la nature. Il y a quelque chose derrière.
POST SCRIPTUM
Rappelons que le tableau clinique du Covipox est également DIFFERENT de la “variole
du singe” africaine.
En plus des voies de contamination.
Et de la gravité (aucun décès en Occident, entre 3 et 10 % en Afrique selon les souches).
Là encore, c’est évident depuis mai 2022, mais personne ne réfléchit.
Une fois de plus, c’est politique. On fonce tête baissée comme des ânes :
- vite état d’urgence (OMS, Etats-Unis) !
- vite on va tous mourir !
- vite des vaccins ! (un vaccin antivariolique dont l’efficacité n’a JAMAIS été
- démontrée contre la variole du singe et a fortiori contre le Covipox) !
Enfin, un petit détail… : le monde (sauf l’Afrique) connaît depuis 2 ans et demi une
terrible pandémie couillonavirale… ayant infecté 580 millions de personnes et
provoquant des “Covid longs”, nous dit-on.
Fort bien.
Il serait donc logique d’enquêter auprès des covipoxés : ont-il été infectés par le
Sars-Cov2 ? Si oui quand ? Et faire -c’est la moindre des choses- un test sanguin.
Car, l’Afrique n’a pas DU TOUT été affectée par le Covid. Alors, serait l’explication ?
Le chaînon manquant ?
Rien. Rien du côté des médecins, des scientifiques, des autorités sanitaires.
Même les covidéments les plus acharnés… ceux qui attribuent au Sars-Cov2 des
propriétés incroyables, des pouvoirs “diaboliques” (CF le vieillard clown Delfraissy)
capables de provoquer des Covid longs mystérieux et débilitants, affectant la vie de
centaines de milliers de personnes dans le monde… aucun ne pose la question !
Aucun n’ose dire : “la variole du singe se propage, c’est à cause du Covid !”
C’est étrange, non ?
Prenons un exemple caricatural : Anthony Fauci, le Tsar du Covid aux Etats-Unis,
covidément zélote qui nous casse les grelots depuis 2 ans et demi.
Il s’est exprimé publiquement sur le monkeypox, en évoquant le “risque profond ” posé
par ce virus… mais à aucun moment n’a fait le lien avec la terrible pandémie !
Veut-il cacher quelque chose ? On sent qu’il est sur la défensive…
Cette amnésie collective -forcée ou sincère- n’est pas un bon présage.
Françoise G
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La notion de service obligatoire liée au fameux engagement « citoyen » nous ramène aux
heures les plus sombres de la Révolution française. Ce nouvel esclavage a justifié
l’insurrection Vendéenne et généré dans les esprits pervers des Jacobins le premier
projet génocidaire, rien moins que cela !
La notion même de service « citoyen » ne recouvre pas la seule corvée valorisée commeintégration au corps social, mais aussi un projet complémentaire d’endoctrinement
renforçant l’œuvre de l’enseignement obligatoire et de la propagande par médias
subventionnés, il s’agit donc là d’un sévice public par excellence dont l’externalité est
l’auto-contrôle et la censure de celui qui ne s’autorise plus à penser.
Mieux, la constitution d’un corps social grégaire suppose qu’il soit fourni à l’individu(réduit à n’être défini que dans sa sujétion à l’État c’est-à-dire comme citoyen) non
seulement un dépassement par la soumission à une idéologie qui le transcende, mais
aussi le paiement d’une dette par le corps et l’esprit à ceux qui incarnent la collectivité
publique.
Car comme il nous l’est seriné, laissés à nous-mêmes nous sommes de misérablesindividualistes. Nous devons donc rendre grâce à nos seigneurs pour la protection qu’ils
nous assurent face à la guerre, la fin, la maladie, le racisme, le réchauffement climatique.
Voila notre dette. Car tout ce qui nous protège résulte d’une construction qui nous estextérieure et qu’il serait dangereux de chercher à comprendre. C’est par la dissolution
dans l’obligation sociale que nous émergeons de notre condition. Toujours selon ceux à
qui nous devrions notre transcendance, mieux notre citoyenneté.
Ainsi dès l’école élémentaire, l’entrée dans les dispositifs de servage se met en placeau cours d’un parcours citoyen dont la vocation est l’acceptation du servage sous forme
d’une éducation aux médias et à l’information afin de poser les œillères
« anticomplotistes », puis de transmettre par véritables imprégnation une culture du
«développement durable », de lutte contre toutes les formes de discriminations dont
les LGBT++phobies. Ceci se réalise en lieu avec le programme dit d’éducation morale et
civique et est consacré par un rituel avec remise du « livret de citoyenneté ».
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