• LE RUISSEL MENT

                                                                                      La théorie du ruissellement… – Anti-K                

     

    Selon certains journaleux jamais en panne d’imagination, la nouvelle assemblée élue

    serait à l’image de la France réelle…


    Sans tenir compte que s’il y avait une anomalie dans la précédente assemblée, elle tenait

    plutôt à la présence écrasante de godillots dévoués à leur maître élus sur le malentendu

    et l’escroquerie du ni gauche ni droite auquel des gogos crédules en mal de nouveauté

    ont succombé.


    Les opérations électorales  deviennent, chaque jour un peu plus, le champ clos de basses

    manœuvres politiciennes. Ni gauche ni droite, mais un peu d’extrême droite tout de même…


    Surtout, passée la gêne ou l’indignation devant le taux d’abstention au premier tour

    (confirmé au second) les commentateurs (et les sondeurs qui se sont encore plantés,

    comme d’habitude), n’intègrent plus ce paramètre pour faire leurs hypothèses fumeuses

    de cohabitations des différentes composantes de la nouvelle assemblée pour voter des

    textes. Passés à la trappe, comme prévu, les abstentionnistes…


    La fracture profonde entre le peuple et ses élites politiques est sous nos yeux. A peine la

    moitié des électeurs se sont rendus aux urnes !


    L’absence de projet politique de la part de LREM s’explique donc très bien si l’on

    considère que le véritable pouvoir en France n’est plus politique mais qu’il est constitué

    de lobbies actifs qui œuvrent chaque jour pour le bien de leur corporation et leurs intérêts

    personnels et ceux de leurs actionnaires .


    On espère ne plus jamais voir une ignominie comme le pass vaccinal pour favoriser des

    injections dont l’impact global positif reste encore largement à prouver, si ce n’est pour

    les bénéfices des sociétés qui les fabriquent.


    je vous présente le climat :  le patronat présente la facture » dans lequel le Médef trouve

    une nouvelle justification à sa demande de baisse des impôts de production à hauteur de

    35 Milliards par an « non plus pour gagner en productivité, mais pour amortir les

    investissements associés à la décarbonation ».


    Nous voilà donc rassurés, la baisse des charges depuis 20 ans n’ira donc pas

    désormais systématiquement aux dividendes et va ruisseler pour le plus grand bien de

    la planète : nous sommes priés d’y croire.


    M.D


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