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AINSI VA LE MONDE
Nous sommes en plein cœur de l’été et nos médias ne cessent de nous parler de canicule,
sécheresse, incendies, changement/réchauffement climatique, pour justifier dans les
semaines à venir, les différentes mesures de rationnements énergétiques qui vont nous
être imposés à partir de la rentrée 2022.
Au moment où Mario Draghi fait ses valises en Italie, le « Green Pass », inauguré àl’occasion de la plandémie, pourrait bien s’installer durablement.
En effet, l’Agenda Vert que les grands médias promeuvent depuis que le narratifcovidien peine à maintenir les populations dans la peur (avec les ridicules 7ème, 8ème
et 9ème vagues) va véritablement s’appliquer lorsque les vacances d’été et les espoirs
de repos seront passés.
La rentrée dans un contexte d’hyperinflation et de tensions importantes dans le secteurénergétique, pourrait bien se révéler explosive pour les peuples et nos dirigeants
mondialistes.
D’ailleurs certains grands valets du Forum économique mondial ont déjà été poussésvers la sortie à la conséquence du mécontentement des populations et de leurs patrons.
Cet été 2022 est donc paradoxale. En France, en tout cas, mais aussi en Italie et dansd’autres pays, on ne peut nier qu’il y a sur le plan des mesures liberticides et de
coercition, une pause relative depuis quelques semaines.
La chaleur et le soleil peuvent naturellement l’expliquer mais c’est surtout un contextepolitique et un rapport de force qui semble avoir changé depuis le printemps 2022.
On le constate, avec la pandémie, la guerre, et désormais l’inflation officielle, il y adésormais un bon ¼ de la population qui semble souscrire au « Grand Réveil ».
C’est pourquoi face à cette prise de conscience d’une partie de la population occidentale,l’hyperclasse est en train d’accélérer la propagande verte, outil de culpabilisation ultime.
Dans cette période ensoleillée de « calme » relatif, il est intéressant d’anticiper le thèmequi va être activé dans les prochaines semaines pour « contrôler » encore et toujours
plus les populations.
Et à vrai dire, si l’on écoute le dernier entretien de Larry Fink (PDG de BlackRock,véritable main invisible du marché) au journal américain Financial Times, ses
déclarations laissent, à vrai dire, peu de place à l’interprétation…
En effet, Larry Fink a déclaré : « La seule chose dont je m’inquiète et dont nous neparlons pas assez, c’est la nourriture.(…) Ce n’est pas seulement une question d’inflation.
Il y a aussi des préoccupations géopolitiques qui en découlent.
Les prix du pétrole, de l’essence, des engrais et des produits agricoles ont grimpé plustôt cette année lorsque les nations occidentales ont imposé des sanctions à la Russie
après son invasion de l’Ukraine. Les coûts du blé et de l’huile de tournesol ont également
été durement touchés car l’Ukraine est un exportateur majeur. Les prix du pétrole ont
commencé à redescendre cette semaine aux niveaux d’avant l’invasion alors que les
commerçants se préparent à une forte baisse de la demande, mais l’inflation des prix
alimentaires reste élevée.
Les chiffres de l’indice des prix à la consommation aux États-Unis pour juin montrentque le prix du poulet et de la farine ont chacun augmenté de près de 20% par rapport à
l’année précédente et que la margarine a bondi de 34%. Nous parlons beaucoup des prix
de l’essence parce que c’est ce qui affecte les Américains, mais le plus gros problème
est la nourriture ».
Et bien sûr le CEO de BlackRock n’est pas la seule voix parmi l’oligarchie à nousmettre en garde contre l’insécurité alimentaire qui vient.
Tout un programme !
Le célèbre Bill Gates (toujours lui) avait déjà indiqué lors d’un G8, il y a maintenant plusd’une décennie, que la sécurité alimentaire mondiale devait être une priorité (en 2009).
Il a bien sûr, réitéré ses propos prophétiques à l’occasion de la guerre en Ukraine en
déclarant que : « la réduction des approvisionnements en blé, en huiles comestibles et
en autres aliments causée par la guerre en Ukraine fait grimper les prix des denrées
alimentaires, ce qui augmentera la malnutrition et l’instabilité dans les pays à faible
revenu. »
La Banque mondiale elle aussi, prévoyait que « les prix alimentaires mondiauxaugmenteraient de 20% cette année, dépassant de loin les matières premières à la
conséquence du conflit Russo-Ukrainien ».
Enfin, la secrétaire au Trésor des États-Unis lutte actuellement pour masquer la terriblerécession aux États-Unis et les dégâts colossaux causés par l’inflation, a également
indiqué que :« le monde était confronté à une période extrêmement difficile pour la
sécurité alimentaire mondiale et a exhorté les principaux pays du G-20 à mettre fin aux
restrictions de stockage et d’exportation de produits alimentaires et à fournir une aide
financière supplémentaire aux pays et personnes aux prises avec
l’insécurité alimentaire. »
Ces demandes ont d’ailleurs été suivies à la lettre par la Fédération de Russie que s’estempressée de rassurer ses partenaires africains sur les fournitures de matières
premières alimentaires…
Ainsi, comme on peut le voir, l’alimentation des populations, c’est-à-dire la sécuritéalimentaire mondiale, pourrait bien devenir l’une des préoccupations majeures de nos
dirigeants et surtout des peuples du monde dans les mois à venir.
Bizarrement en 2022, ce ne sont pas seulement les forêts qui brulent d’une manièredisproportionnée à travers le monde, mais aussi les entrepôts alimentaires, les
exploitations agricoles, les usines agro-alimentaires…
Mais évidemment, pour certains, tous ces faits divers sont très certainement le fruit duHasard.
Lors de son discours du 14 juillet, le golem Macron, en répétant le terme« économie de guerre » (c’est-à-dire la prévision future de pénuries, des rationnements,
réquisitions touchant les populations) a essayé de préparer les Français à rentrer
définitivement dans ce Monde d’Après qui s’offre à nous depuis mars 2020.
Le président nous a prévenu : « L’été et le début de l’automne seront très durs ».
Ce qui est certain, c’est qu’il nous faut profiter du soleil de l’été car l’hiver vient.
G. P
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