-
BILAN DE LA PANDEMIE
Quel bilan doit-on tirer de la pandémie, sur un plan moral ?
Qu’est-ce que la crise sanitaire a révélé de notre rapport collectif au monde ?
À la faveur du traumatisme engendré par cette longue période de confinement, nousentendons résonner partout un appel à la vie, à l’insouciance, à la liberté retrouvée,
joyeuse et sans entraves. La sociabilité semble reprendre ses droits.
L’heure du bilan moral de la pandémie devrait pourtant nous inviter à davantage deréserve. Les jours heureux reviendront, mais ce rapide retour à la normale témoigne
d’une décadence tragique de notre civilisation.
Pour Confucius, la grandeur humaine s’exprime en premier lieu par l’effort sur soi et lesouci des autres. Celui qui a le cœur vaillant structure sa conduite de telle façon qu’il
perfectionne son être, et cet équilibre intérieur lui permet de laisser librement s’exprimer
sa tendance naturelle à la générosité.
Certes, l’impéritie de nos gouvernants saute aux yeux. Il fallait être vraiment stupide etmauvais pour élire de tels bougres. A qui la faute, alors ? Aux gouvernants ou à
l’ensemble de la société ?
La première stratégie de déculpabilisation consiste à rejeter la faute sur nos gouvernants.Certes, leur impéritie saute aux yeux. Il fallait être vraiment stupide et mauvais pour élire
de tels bougres.
Les pouvoirs publics, qui n’avaient prescrit aucune mesure sérieuse au moment oùelles s’imposaient le plus, c’est-à-dire au début de la crise, se sont alors retournés
contre l’OMS, en lui reprochant de ne pas avoir tiré la sonnette d’alarme suffisamment
tôt – bien que l’OMS, pendant des mois, n’ait en réalité cessé de rappeler à l’ordre les
nations occidentales.
T.I
- Bien sûr je ne suis pas du tout d'accord avec l'auteure de cet article, qui oublie lesmultiples contaminés parfois 3 ou 4 fois malgré leurs vaccinations multiples. Elle ne
parle pas non plus des profits immenses de Big Pharma et Cie.
-
Commentaires