• NOS CHAÎNES

    On ne sait pas comment s’achèvera le triste cirque ukrainien, mais rien ne semble vouloir arrêter l’asservissement des peuples. On détourne notre attention avec l’incohérence crasse maintenant habituelle (on veut la liberté des Ukrainiens mais on est farouchement contre celle des Français, non vaccinés, pas assez pucés-passés-QRCodisé, par exemple), mais c’est malheureusement pour mieux laisser toutes les autorités occidentales fabriquer nos propres chaines, placer nos propres barreaux à la prison que nous nous construisons avec application.


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    Les essais nucléaires dans le désert algérien ont duré six ans, jusqu'en 1966.

    La série Reggane était un groupe de 4 essais nucléaires atmosphériques de bombe A menés par la France entre février 1960 et avril 1961, vers la fin de la guerre d'Algérie pour l'indépendance.

    Les bombes ont explosé au Centre d'expérimentation militaire saharien près de Reggane. C'était la première fois que la France faisait exploser des armes nucléaires.

    Une série de 13 essais nucléaires souterrains et cinq essais nucléaires atmosphériques ont été menés ensuite dans les montagnes du Hoggar, près d'In-Ekker, entre novembre 1961 et février 1966.


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  • Macreux dont l'immaturité va une fois de plus coûter cher aux Français, cherche à se donner une stature internationale qu'il n'aura à l'évidence, jamais. Il n'est que le jouet d'intérêts (américains) qui le dépassent de très haut. Les mesures de rétorsion qu'il brandit à la face de Poutine ne serviront à rien. Les mesures de rétorsion prises par Hollande Ouille en 2014 avaient déjà été parfaitement inopérantes. Elles avaient eu pour conséquences de coûter très cher à l'agriculture française exportatrice et de permettre à la Russie de se doter, en compensation, d'une agriculture plus performante.

    Cette fois, c'est Renault et Total, entre autres, qui font faire les frais des gesticulations ridicules de notre présidenticule.


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    Depuis longtemps, nous avons vu les images. Films ou photos des tranchées de la guerre de 1914-1918: gueules cassées, membres mutilés, corps éventrés gisant dans la boue. Puis villes rasées de celle de 1939-1945, survivants décharnés errant dans ce qui était des rues, entassement de cadavres dans les fosses des camps de la mort. Puis petite Vietnamienne en flammes, hurlant, courant à-demi nue sur fond de village incendié. Et décapitations, exécutions sommaires, partout civils massacrés, enfants et femmes fuyant, les pieds nus.

    Nous avons entendu, nous avons lu. Les «Lettres de Stalingrad» par exemple, ces appels au secours, censurés, de soldats affamés pris au piège. Et les récits insoutenables des tortures commises dans tous les cachots du monde. Et les appels à l’aide des réfugiés abandonnés à leur sort.

    Nous savons ce que, de tout temps, apporte toute guerre: l’horreur, l’horreur, l’horreur.

    Et voici que, bruit de bottes et cliquetis des armes, une nouvelle guerre éclate là-bas du côté de l’est, nous laissant stupéfaits, désemparés.

    Le recours à la violence débridée semble accompagner Sapiens tout au long de son histoire. La planète est une cour d’école survolée par des oiseaux noirs, où les disputes naissent, couvent, s’enveniment. Si elles se règlent parfois par le dialogue et s’éteignent d’elles-mêmes, elles peuvent finir par dégénérer. Suffit que l’un des adversaires – personnage, Etat, nation – juge qu’il est suffisamment fort pour terrasser aisément son vis-à-vis. Il engagera alors le combat, certain que le bénéfice qu’il va en tirer sera de loin supérieur à toutes ses pertes. Ça marche parfois. Mais la nouvelle guerre ne sera jamais fraîche et joyeuse. Et celui qui la provoque rejoint la lie de l’humanité.

    Les raisons des conflits? La conquête de nouveaux territoires, la mainmise sur des richesses naturelles, la volonté d’imposer un système politique, la religion, l’ambition personnelle… Et les guerres reviennent, à chaque génération, comme un ressac. Comme si, victimes d’une malédiction, nous portions au fond de nous, dans nos gènes, cette propension à la barbarie.

     


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  • complos contre complos


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