• SELON LES SAISONS

                                                                                              La perte de biodiversité est-elle responsable des épidémies ? / Covid-19


    En somme, dès que les températures montent, la panique s’installe dans le pays et de

    nouvelles interventions étatiques liberticides se multiplient. De façon très éclairante,

    on pressent déjà que lorsque les températures chuteront dès l’automne prochain, il en

    ira de même : l’État, ultra-pas-préparé du tout à constater qu’il peut parfois faire froid en

    hiver, agitera tous ses factotums pour nous expliquer comment nous réchauffer et

    pourquoi sortir est dangereux (on choppe des virus et le sol peut être glissant).

    Il conviendra donc de rester chez soi et … de reporter un masque pour se protéger de

    l’une ou l’autre pestilence pulmonaire du moment. Ceci n’est pas une exagération :

    les autorités allemandes sont déjà sur la brèche et envisagent (en plein cagnard) que

    l’obligation de porter un masque pourrait revenir de façon saisonnière afin d’endiguer

    différentes infections respiratoires.


    L’excuse sanitaire devient alors la porte d’entrée à tous les délires liberticides : trop

    chaud, trop froid, trop venté, vos droits de vous rassembler, de vous déplacer, de

    manifester disparaissent. Trop frais, trop humide, trop ceci ou trop cela ? Vous devrez

    porter des masques, vous devrez vous faire picouser avec l’une ou l’autre potion

    miraculeuse d’une industrie qui semble s’affranchir de plus en plus vite de toutes les

    précautions pourtant indispensables à garantir qu’on ne fait pas plus de mal que de bien.


    Le risque étant interdit, la responsabilité est abolie. Les citoyens ne sont plus que des

    troupeaux d’enfants, de mineurs isolés que seule la solvabilité financière sauve d’un

    enfermement total (et pour combien de temps ?).

    Manifestement, l’autoroute de la servitude part de l’hôpital public.

    Et grâce à la volonté farouche d’une petite minorité active, vocale, qui désire ardemment

    ces politiques idiotes et néfastes, ces réductions de liberté ne disparaissent jamais

    lorsque s’achèvent les événements qui les ont motivées. Le pays reste ainsi coincé en

    état d’urgence (terroriste, sanitaire), et seuls des mouvements de foules violents, lorsque

    les politiciens sentent leur propre couenne en jeu, permettent d’envisager le recul de

    l’impitoyable écrasement étatique.

    Or, comme il n’y a plus aucun de ces mouvements, ce pays est foutu.

    Par H


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