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VIEUX TEXTE
Qui pousse à la guerre, hein, QUI ?
C’est un texte un peu vieux, il date de 1903. Mais on est surpris (pas moi) d’y trouver deséchos à ce qui se passe ces jours-ci. On se demande bien comment ! Lisez, je
vous dirai.
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L’intensification de l’armement et l’augmentation des forces de police sontessentielles à la réalisation de nos plans.
Nous devons faire en sorte que, dans tous les états du monde, il n’y ait endehors de nous que la masse des prolétaires, quelques millionnaires acquis à nos
intérêts, la police et l’armée.
Dans toute l’Europe, et grâce à nos relations avec elle et sur les autres continents,nous devons susciter discorde, dissensions et hostilités mutuelles. Cela nous est utile à
deux titres : d’abord, nous gardons la main sur tous les pays parce qu’ils savent que
nous avons le pouvoir, à notre gré, de créer le désordre ou de rétablir l’ordre. Tous ces
pays sont accoutumés à voir en nous une indispensable force de contrainte.
D’autre part, nous embrouillerons par des intrigues tous les fils que nous avons
ourdis dans les ministères de tous les états par la voie de la politique mais aussi des
traités économiques ou des prêts financiers. Pour parvenir à ces fins, il nous faudra
recourir à beaucoup de ruse et d’astuce pendant les négociations et accords ;
en revanche, lorsque nous nous exprimerons officiellement, nous devrons adopter la
tactique opposée et donc nous donner une image d’honnêteté et de conciliation. Ainsi,
les peuples et gouvernements des goyim, à qui nous avons appris à ne regarder que les
apparences de ce que nous leur présentons, continueront à nous considérer comme les
bienfaiteurs et les sauveurs de l’humanité.
Nous devons être à même de répondre à toute opposition par une guerre entre le paysqui ose s’opposer à nous et ses voisins ; mais si ces voisins se risquaient à se lever
ensemble contre nous, il faudrait leur répondre en déclenchant une guerre
mondiale.
Le principal facteur de réussite en politique est de garder le secret sur ce qu’onentreprend : les actes d’un diplomate ne doivent pas correspondre à
ses paroles.
Nous devons obliger les gouvernements des goyim à agir dans le sens prévu par levaste plan que nous avons établi et dont l’issue approche, par le biais de ce que nous
présenterons comme l’opinion publique ; celle-ci est en fait secrètement orientée par
nous au moyen de la presse, ce « grand pouvoir » qui est déjà tout entier entre nos
mains à quelques négligeables exceptions près.
En bref, pour résumer notre système de contrôle permanent desgouvernements des goyim d’Europe, nous montrerons notre force à l’un d’eux au moyen
d’attentats terroristes et, en cas de révolte générale contre nous, notre réponse ferait
appel aux armes de l’Amérique, de la Chine ou du Japon.
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C’est la traduction (médiocre) par mes soins d’une traduction anglaise ancienne(très mauvaise) du document original qui était en russe et que je n’ai pas lu. On y lit
le protocole d’action de méchants qui estiment nécessaire de pousser à la guerre pour
dominer le monde. Curieusement, cette vision du monde persiste, et on voit des
enculés comme Bernard Henri L., Raphaël G, Rudy R, Raphaël E., Tristan MF,
et d’autres ethnocomplices se répandre sur les médias pour demander la guerre en
disant que c’est les autres. Bref.
Le texte que je vous ai traduit a été formellement déclaré « faux » par leethnocomplices de nos pousse-à-la-roue de la guerre. Mais justement, le texte
lui-même explique comment ces ethnocomplices peuvent faire dire et croire ce qu’ils
veulent, parce qu’ils possèdent tout. En 1903, bien sûr. Mais curieusement,
aujourd’hui aussi.
Ce texte, c’est le septième des brodokol des zages de Zy[kl]on. Qui est un faux,rappelons-le.
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