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Les chute des covidistes est inéluctable et les touchera tous, sans exception. Ils le
savent et commencent à quitter le gros bobard covid qui prend l'eau. Le conseil
scientifique est remplacé par une équipe "commando" de scientifiques de très haut
niveau (sic !).
Du coup, Delfraissy, peut-être un peu froissé, vexé, fâché ..., le patron du conseil
scientifique, lui qui nous a confiné, masqué, mis sous couvre-feux et poussé à la
vaccination par la coercition, évoque "un mauvais vaccin", des mesures sanitaires
excessives, le traitement infâme infligé à nos anciens, etc. Delfraissy pense, sans doute,
éviter la condamnation à venir. Hélas, mon bougre, tu n'y échapperas pas. De l'autre
côté du pont, transatlantique, c'est Fauci qui fait son possible pour passer à côté de la
corde. Bien trop tard pour lui aussi, le crime est bien trop important, bien trop
dégueulasse. Même le professeur Caumes, covidiste acharné de la première heure, met
de l'eau dans son vin pour, grossièrement, passer entre les gouttes de la sentence.
Là aussi, bien trop tardivement. Le bateau coule, certains rats commencent à quitter le
navire.
Évidemment, la relève est assurée. Une nouvelle menace pour faire trembler de peurune fois encore le bon peuple de France. Après le covid-1984, la guerre en Ukraine, le
réchauffement médiatique, voici le monkeypox, la variole du singe. La sauce va t-elle
prendre cette fois ? L'avenir nous le dira. l'avenir nous dira également d'où vient cette
maladie providentielle (pour la mise en place du contrôle total made in china), et surtout,
d'où sort elle. D'un labo (encore !) ? Ou est-ce, et cela est bien plus probable, un zona
provoqué par la soupe nauséabonde fabriquée par le labo voyou le plus condamné au
monde. Le monkeypox serait-il l'un des innombrables effets secondaires du vaccin ?
Peut-on seulement poser la question ? Pas sûr.
Reste, bien sûr, quelques irréductibles cathodiques. Deray, Marty ... et l'ignobleMégarbane. Le soir, il est à plus de 23h sur une chaîne info. Le lendemain matin, très tôt,
revoici sa sale trogne sur une chaîne concurrente. Mais que fait ce type sur les
plateaux tv à longueur de journée, alors que le monde est menacé de mort, selon lui,
par plusieurs pandémies dévastatrices ? Ne devrait-il pas se trouver sur le champ de
bataille, c'est-à-dire dans son service à sauver des vies ? À moins qu'il n'y ait ni
pandémies dévastatrices ni services surchargés par les malades de ces pseudo
pandémies médiatiques et politiques. Ces personnages abjects auront essayé de nous
faire avaler tout et n'importe quoi, y compris des couleuvres de plus de trois tonnes.
Exemple : LE COVID LONG ASSYMPTOMATIQUE ! Dans un monde normal, la mascarade
s'écroule immédiatement et définitivement.
Il est plus que temps de réintégrer le personnel non vacciné suspendu. Le vaccin estinutile et dangereux. Biden (quadruple vacciné et doublement masqué) vient de prouver
aux yeux du monde entier que la piqûre ne protège ni de l'infection ni de la transmission.
Le président sénile a été testé deux fois positif en quatorze jours. Il est à l'isolement
pour la deuxième fois. Quel cirque !
Les covidistes ont engendré beaucoup de covidiots. Cependant, ce ne sont certainementpas ces adeptes de la propagande gouvernementale et médiatiques, masqués dans leur
voiture, à vélo, sur la plage ou en vadrouille en forêt, qui les sauveront. Pour les
covidistes, il n'y a pas d'échappatoire. L'heure des comptes va bientôt sonner.
Et attention au covidiot qui se réveille brutalement, il sera bien plus intraitable,
parfaitement intraitable !, et cruel envers ceux qui l'ont pris pour ce qu'il a été depuis
plus de deux ans, un idiot.
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Les Etats-Unis sont-ils aujourd'hui engagés dans une fuite en avant qui
résulterait du sentiment d'une profonde instabilité interne?
On peut interpréter la Les Etats-Unis sont-ils aujourd'hui engagés dans une fuite en avant
qui résulterait du sentiment d'une profonde instabilité interne? On peut interpréter la
dangereuse visite de Nancy Pelosi à Taïwan - imposée aux Taïwanais - comme une
opération de pure politique intérieure: diviser l'opposition républicaine en ralliant une
partie des adversaires politiques de Joe Biden, séduit par ce geste fort vis-à-vis de la
Chine. Mais tout cela ne dissimule-t-il pas, au fond, le désarroi de l'oligarchie démocrate
devant la division croissante de la société américaine? En observant "l'Amérique" depuis
quelques années, on a de plus en plus de raisons de douter de l'avenir du modèle
américain d'unification nationale.
Yves-Marie Adeline, historien des idées et des pratiques politiques, pose la questionsans tabous - imposée aux Taïwanais - comme une opération de pure politique intérieure:
diviser l'opposition républicaine en ralliant une partie des adversaires politiques de
Joe Biden, séduit par ce geste fort vis-à-vis de la Chine. Mais tout cela ne dissimule-t-il
pas, au fond, le désarroi de l'oligarchie démocrate devant la division croissante de la
société américaine?
En observant "l'Amérique" depuis quelques années, on a de plus en plus de raisons
de douter de l'avenir du modèle américain d'unification nationale.
Y-M Adeline
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A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger
ses achats.
La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit :
"- Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique.Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! "
La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :
“-Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps.”
Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :
- "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens.C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans
votre temps.
Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer :
- A cette époque on retournait les bouteilles de verre. Le magasin les renvoyait à l'usinepour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau. Les bouteilles étaient recyclées, mais
on ne connaissait pas le mouvement écologique.
Elle ajoute :
- De mon temps, on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants et peud'ascenseurs.
On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues : onmarchait jusqu'à l'épicerie du coin. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement
écologiste.
On avait des vélos, mais sans assistance électrique, et on pédalait fort si l'on voulaitavancer !
On ne connaissait pas les couches jetables : on lavait les couches des bébés.
On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde . On avait un réveil qu'on remontaitle soir.
Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous cesgadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts
autant qu'EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait commerembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des
bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto-portées :
On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon.
On travaillait physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pourcourir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou debouteilles en plastique à jeter.
On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo.
On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ouà pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.
Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaientd'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres
accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers
jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan !.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique !
On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimentertoute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGISTE !
Tout ce qu'on regrette, c'est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d'engendrerla génération des jeunes cons comme vous, qui s'imagine avoir tout inventé,
à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes
d'orthographe , qui n'ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées, qui
ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel (pensent même que c'est un grand couturier),
qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes,
etc. mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de
leur ignorance crasse !
MERDE à la fin !
Merci de ne pas imprimer ce message afin de préserver l'environnement.
Mais ne vous privez pas de faire suivre ! !
(Ah ! ça défoule ...)
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Je suis un mauvais diable, effroyable citoyen, indigne voisin mais je me refuse à la farce
du masque dans la rue. Quand je vois s’approcher les morts vivants, calfeutrés derrière
lunettes, masque et parfois cagoule, je ne peux m’empêcher de penser que la camarde a
gagné la partie plus sûrement que les terroristes d’hier. Notre société s’est brisée,
fragmentée, dissoute dans une frayeur irraisonnée : celle de mourir !
La belle affaire que voilà, mes concitoyens découvrent hébétés et ahuris que la mort estla seule issue de ce magnifique voyage qu’on nomme la vie. Soudain ils réalisent que leur
condition de mortel est une menace permanente, un défi toujours remis en jeu,
un parcours qui s'achèvera un jour.
Eux qui avaient relevé la tête devant les hordes barbares des fous d’un dieu de haine et
de terreur, s’inclinent devant un petit virus qui met la planète à genou.
Ils se sont pourtant voilés la face depuis si longtemps quand notre système de santé aété honteusement, méticuleusement, systématiquement attaqué, démantelé, réduit à la
misère pour favoriser les capitaux privés et les amis des gouvernants. Ils n’ont pas
protesté quand les hospices ont été vendus aux investisseurs de la mort lente dans
l’inconfort et l’indignité. Tout cela n’avait aucune importance parce qu’ils n’étaient pas
concernés.
Mais qu’on leur affirme qu’une méchante bête pourrait leur couper l’envie de respirer etles voilà qui se couvrent la bouche et le nez pour échapper à la terrible menace.
Les zombis pourtant ne se privent pas de leur désir effréné de consommation. Ainsi
transformés en spectres, ils hantent en masse les rayons des supermarchés, les centres
villes, les esplanades et bords de rivière, persuadés que leur nombre fera fuir la menace.
Ils oublient alors qu’ils se font les agents du virus. Que c’est en consommant toujoursplus qu’ils favorisent la prochaine vague ou la nouvelle. Ils n’ont rien compris du sens
de ce simple et misérable avertissement. Misérable en effet au regard des statistiques
mais naturellement pas pour ceux qui en furent les victimes.
Le monde d’après est mort né. Il n’a apporté que ce bout de tissus grotesque qui n’estpas si anodin que cela. C’est lui qui fera de ses adeptes scrupuleux, les robots de la
nouvelle société. Ils ont démontré à quel point ils étaient malléables, obéissants, serviles,
disciplinés parfois. Ils seront la grande armée du redressement planétaire par une
nouvelle croissance, une reprise hystérique de la dépense, une élimination radicale de
leur capacité de discernement.
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Nous sommes en plein cœur de l’été et nos médias ne cessent de nous parler de canicule,
sécheresse, incendies, changement/réchauffement climatique, pour justifier dans les
semaines à venir, les différentes mesures de rationnements énergétiques qui vont nous
être imposés à partir de la rentrée 2022.
Au moment où Mario Draghi fait ses valises en Italie, le « Green Pass », inauguré àl’occasion de la plandémie, pourrait bien s’installer durablement.
En effet, l’Agenda Vert que les grands médias promeuvent depuis que le narratifcovidien peine à maintenir les populations dans la peur (avec les ridicules 7ème, 8ème
et 9ème vagues) va véritablement s’appliquer lorsque les vacances d’été et les espoirs
de repos seront passés.
La rentrée dans un contexte d’hyperinflation et de tensions importantes dans le secteurénergétique, pourrait bien se révéler explosive pour les peuples et nos dirigeants
mondialistes.
D’ailleurs certains grands valets du Forum économique mondial ont déjà été poussésvers la sortie à la conséquence du mécontentement des populations et de leurs patrons.
Cet été 2022 est donc paradoxale. En France, en tout cas, mais aussi en Italie et dansd’autres pays, on ne peut nier qu’il y a sur le plan des mesures liberticides et de
coercition, une pause relative depuis quelques semaines.
La chaleur et le soleil peuvent naturellement l’expliquer mais c’est surtout un contextepolitique et un rapport de force qui semble avoir changé depuis le printemps 2022.
On le constate, avec la pandémie, la guerre, et désormais l’inflation officielle, il y adésormais un bon ¼ de la population qui semble souscrire au « Grand Réveil ».
C’est pourquoi face à cette prise de conscience d’une partie de la population occidentale,l’hyperclasse est en train d’accélérer la propagande verte, outil de culpabilisation ultime.
Dans cette période ensoleillée de « calme » relatif, il est intéressant d’anticiper le thèmequi va être activé dans les prochaines semaines pour « contrôler » encore et toujours
plus les populations.
Et à vrai dire, si l’on écoute le dernier entretien de Larry Fink (PDG de BlackRock,véritable main invisible du marché) au journal américain Financial Times, ses
déclarations laissent, à vrai dire, peu de place à l’interprétation…
En effet, Larry Fink a déclaré : « La seule chose dont je m’inquiète et dont nous neparlons pas assez, c’est la nourriture.(…) Ce n’est pas seulement une question d’inflation.
Il y a aussi des préoccupations géopolitiques qui en découlent.
Les prix du pétrole, de l’essence, des engrais et des produits agricoles ont grimpé plustôt cette année lorsque les nations occidentales ont imposé des sanctions à la Russie
après son invasion de l’Ukraine. Les coûts du blé et de l’huile de tournesol ont également
été durement touchés car l’Ukraine est un exportateur majeur. Les prix du pétrole ont
commencé à redescendre cette semaine aux niveaux d’avant l’invasion alors que les
commerçants se préparent à une forte baisse de la demande, mais l’inflation des prix
alimentaires reste élevée.
Les chiffres de l’indice des prix à la consommation aux États-Unis pour juin montrentque le prix du poulet et de la farine ont chacun augmenté de près de 20% par rapport à
l’année précédente et que la margarine a bondi de 34%. Nous parlons beaucoup des prix
de l’essence parce que c’est ce qui affecte les Américains, mais le plus gros problème
est la nourriture ».
Et bien sûr le CEO de BlackRock n’est pas la seule voix parmi l’oligarchie à nousmettre en garde contre l’insécurité alimentaire qui vient.
Tout un programme !
Le célèbre Bill Gates (toujours lui) avait déjà indiqué lors d’un G8, il y a maintenant plusd’une décennie, que la sécurité alimentaire mondiale devait être une priorité (en 2009).
Il a bien sûr, réitéré ses propos prophétiques à l’occasion de la guerre en Ukraine en
déclarant que : « la réduction des approvisionnements en blé, en huiles comestibles et
en autres aliments causée par la guerre en Ukraine fait grimper les prix des denrées
alimentaires, ce qui augmentera la malnutrition et l’instabilité dans les pays à faible
revenu. »
La Banque mondiale elle aussi, prévoyait que « les prix alimentaires mondiauxaugmenteraient de 20% cette année, dépassant de loin les matières premières à la
conséquence du conflit Russo-Ukrainien ».
Enfin, la secrétaire au Trésor des États-Unis lutte actuellement pour masquer la terriblerécession aux États-Unis et les dégâts colossaux causés par l’inflation, a également
indiqué que :« le monde était confronté à une période extrêmement difficile pour la
sécurité alimentaire mondiale et a exhorté les principaux pays du G-20 à mettre fin aux
restrictions de stockage et d’exportation de produits alimentaires et à fournir une aide
financière supplémentaire aux pays et personnes aux prises avec
l’insécurité alimentaire. »
Ces demandes ont d’ailleurs été suivies à la lettre par la Fédération de Russie que s’estempressée de rassurer ses partenaires africains sur les fournitures de matières
premières alimentaires…
Ainsi, comme on peut le voir, l’alimentation des populations, c’est-à-dire la sécuritéalimentaire mondiale, pourrait bien devenir l’une des préoccupations majeures de nos
dirigeants et surtout des peuples du monde dans les mois à venir.
Bizarrement en 2022, ce ne sont pas seulement les forêts qui brulent d’une manièredisproportionnée à travers le monde, mais aussi les entrepôts alimentaires, les
exploitations agricoles, les usines agro-alimentaires…
Mais évidemment, pour certains, tous ces faits divers sont très certainement le fruit duHasard.
Lors de son discours du 14 juillet, le golem Macron, en répétant le terme« économie de guerre » (c’est-à-dire la prévision future de pénuries, des rationnements,
réquisitions touchant les populations) a essayé de préparer les Français à rentrer
définitivement dans ce Monde d’Après qui s’offre à nous depuis mars 2020.
Le président nous a prévenu : « L’été et le début de l’automne seront très durs ».
Ce qui est certain, c’est qu’il nous faut profiter du soleil de l’été car l’hiver vient.
G. P
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