• Le monde va-t-il partir en cacahuète ?

     

     

    L'un des nombreux effets indésirables liés aux "vaccins" contre le coronavirus de Wuhan

    (COVID-19) est la réactivation du virus de la varicelle et du zona, qui peut se manifester

    sous forme d'herpès, de varicelle, de vésicules auto-immunes et de monkeypox.

    En fait, la variole du singe est souvent impossible à distinguer de la varicelle, qui,

    lorsqu'elle se manifeste chez les adultes, est appelée zona. Une étude de 1988 sur la

    monkeypox explique que "le principal problème de diagnostic clinique est la

    différenciation de la monkeypox humaine de la varicelle."

    En d'autres termes, ce que certaines personnes vivent actuellement et que les médias

    appellent la monkeypox pourrait en fait être la varicelle ou le zona, selon l'âge de la

    personne. Et la cause pourrait être les vaccins contre la grippe de Fauci, qui se trouvent

    avoir été introduits dans le cadre de l'opération Warp Speed juste avant la nouvelle

    épidémie présumée de monkeypox.

    Selon le gouvernement et les médias, le monkeypox, alias pridepox, semble se propager

    principalement au sein de la communauté LGBT. Toutefois, le véritable point zéro

    pourrait être les injections de COVID à ARNm (ARN messager) de Pfizer, qui ont été

    largement acceptées par les LGBT.

    "Le virus de la varicelle est techniquement connu sous le nom de virus varicelle-zona,

    et tout comme son proche parent le virus de l'herpès simplex, il devient un résident à vie

    dans le corps", explique Exposé News.

    "Et comme son autre cousin, l'herpès génital, la varicelle peut rester silencieuse pendant

    de nombreuses années, se cachant à l'intérieur des cellules nerveuses et pouvant se

    réactiver plus tard, faisant des ravages sous la forme d'un trouble cutané atroce, le zona,

    qui est une éruption cutanée vésiculeuse et brûlante."

    "Malheureusement, ou heureusement, selon que vous avez choisi ou non de recevoir

    l'injection de COVID-19, les données officielles du gouvernement et les documents

    confidentiels de Pfizer suggèrent fortement que l'injection de COVID-19 pourrait réactiver

    le virus dormant de la varicelle ou de l'herpès, en raison des dommages effrayants qu'il

    cause au système immunitaire."


    Les documents de Pfizer montrent que les injections de COVID réactivent le virus de la

    varicelle et du zona, entraînant ce qu'ils appellent maintenant la monkeypox.

    Si cette hypothèse est correcte, alors ce que nous observons dans tout l'Occident est

    une épidémie de zona induite par le vaccin COVID et d'autres symptômes associés à la

    réactivation du virus varicelle-zona.

    L'administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments (FDA) aurait

    été au courant, c'est pourquoi elle a essayé de couvrir Pfizer en mettant sous clé les

    documents relatifs à l'innocuité et aux essais du vaccin covid pendant 75 ans, avant que

    les tribunaux n'ordonnent leur publication rapide.

    L'une des sections du document couvrant les effets indésirables d'"intérêt particulier"

    (AESI) mentionne les infections virales herpétiques comme une conséquence potentielle

    du vaccin covid, ainsi que l'inflammation.

    "Selon le document, à la fin du mois de février 2021, soit deux mois seulement après que

    le vaccin Pfizer ait reçu une autorisation d'utilisation d'urgence aux États-Unis et au

    Royaume-Uni, Pfizer avait reçu 8152 rapports relatifs à des infections herpétiques,

    et 18 d'entre eux avaient déjà entraîné un syndrome de dysfonctionnement d'organes

    multiples", indique Exposé News.

    "Le syndrome de dysfonctionnement d'organes multiples (MODS) est une réponse

    inflammatoire systémique et dysfonctionnelle qui nécessite un long séjour en unité de

    soins intensifs (USI). Il se caractérise par un taux de mortalité élevé en fonction du

    nombre d'organes concernés. Elle peut être causée par une infection herpétique."

    D'autres documents publiés par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)

    montrent que les cas d'herpès, de zona et de syndrome de dysfonctionnement multiple

    des organes ont explosé aux États-Unis après le déploiement de l'opération Warp Speed.

    En raison des dommages qu'ils causent au système immunitaire, les injections covid

    sont essentiellement un déclencheur de l'herpès dormant et de la réactivation des virus

    de la varicelle et du zona. Un système immunitaire endommagé par le vaccin laisse

    tomber ses défenses, ce qui permet à ces maladies cachées de réapparaître et de

    s'envenimer.

    La maladie n'est pas entièrement comprise, mais les "experts" pensent qu'elle est

    déclenchée lorsqu'une personne ayant une tendance génétique à contracter cette

    maladie entre en contact avec un déclencheur environnemental. Il peut s'agir d'un

    produit chimique ou d'un médicament. Comme l'injection de vaccins COVID-19 de Pfizer ?"

    D.C.C

     


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  •                                                                                        https://www.francetvinfo.fr/image/75eayo1gq-8a51/1900/1266/12980969.jpg    

     

    Sur 429 députés qui ont voté mercredi la déconjugalisation de l'AAH offrant

    un moment d'unité à l'Assemblée, le député Horizons Thomas Mesnier est la

    seule voix dissonnante. C'est un sot ignorant et suffisant.

     


    La société, en reconnaissant le droit à l’autonomie des personnes handicapées, passait

    d’une logique d’assistance et une logique de solidarité. Si soumettre l’octroi de l’AAH au

    niveau de revenus de l’éventuel bénéficiaire, même en fixant des plafonds de revenus

    parfois discutables, peut être entendu, le fait de prendre en compte ceux du conjoint n’est

    pas admissible car cela porte atteinte au principe d’autonomie en mettant la personne

    handicapée sous la tutelle de son conjoint. La loi de 1975, considérant l’AAH comme une

    aide sociale « ordinaire », stipule dans son article 35 :

    « L'allocation aux adultes handicapés peut se cumuler avec les ressources personnelles

    de l'intéressé et, s'il y a lieu, de son conjoint dans la limite d'un plafond, fixé par décret

    qui varie suivant qu'il est marié et a une ou plusieurs personnes à sa charge.

     

                                                                                La déconjugalisation de l'AAH fait de nouveau chou blanc – Combat 

    » Donc la « conjugalisation » de l’AAH date de cette époque et n’a cessé de faire l’objet

    de critiques en raison de la dépendance qu’elle crée. C’est une relation de dépendance

    financière vis‑à‑vis du conjoint de l’allocataire qui va à l’encontre de son autonomie, avec

    de plus, dans certaines situations, un risque de maltraitance. Le Grenelle des violences

    conjugales organisé courant 2019 n’a que très peu évoqué ce risque alors que de

    nombreuses enquêtes et études ont permis de constater que cette dépendance est

    particulièrement prégnante chez les femmes et les fragilise. En outre, et nous retrouvons

    la problématique du pouvoir d’achat, la conjugalisation de l’AAH impact, souvent

    fortement, les revenus du couple. Ce que Monsieur le député ne prend pas en compte

    dans sa démarche plus idéologique que sociologique c’est le coût du handicap en

    termes de matériel à acquérir, de soins… car tout n’est pas remboursé par la Sécurité

    sociale, loin de là. On voit bien dans l’article du Point que Monsieur le député ne prend

    absolument pas en compte la réalité de ce que vivent les personnes handicapées, et leurs

    conjoints, il s’arc-boute sur une lecture archaïque de la société notamment quand il

    évoque la famille : « la famille est-elle toujours la base de notre modèle social » ; je ne

    sais pas si la famille n’a jamais été la base du modèle social français par contre il est

    évident que la famille n’est plus ce qu’elle était il y a 70 ans, qu’elle ne fonctionne plus

    de la même façon, et surtout que les couples n’ont pas la durée qu’ils avaient jadis. Qu’il

    se souvienne à quelle époque les « épouses » ont obtenu leur autonomie financière.

     

    Handicap économique – Blagues et Dessins 

    Si on suit à la lettre son raisonnement il faudrait peut-être indexer le salaire d’un conjoint

    sur celui de l’autre ‑n’est-ce pas ce qui se passe ipso facto en matière d’inégalité de

    salaire entre les hommes et les femmes ? Effectivement dans une société où « la famille »

    est faible par rapport à l’individu, ce qui est le cas dans notre société d’ailleurs plus

    égoïste qu’individualiste, les rapports sociaux donc ceux de solidarité se construisent

    différemment. C’est un travail d’observation et d’analyse de la société que ne fait pas

    , faute d’une culture suffisante, le président de la République qui se contente de casser

    le système de solidarité sociale issu de longues années de maturation avec un apogée au

    sortir de la Deuxième guerre mondiale. Il semble que Monsieur le député s’inscrit dans

    la philosophie de « pognon de dingue » plus qu’il ne se pose la question du bien-être

    apporté lorsqu’il évoque le coût de la déconjugalisation : 600 millions d’euros !


    Ainsi, 1,22 million de personnes qui bénéficient de l’AAH, c’est bien moins que le nombre

    de jeunes bénéficiaires du Passe Culture distribué sans condition de ressources, c’est

    très nettement moins que les exemptions de charges octroyées sans conditions aux

    entreprises y compris les plus riches, et ne parlons pas de l’ISF… Oser affirmer que le

    vote de la déconjugalisation serait le « symptôme du débat politique » c’est s’asseoir

    sur plus de quarante ans d’histoire de la reconnaissance, progressive, des personnes

    handicapées par la solidarité nationale ; cette question n’a jamais cessé d’être discutée

    depuis la loi de 1975 (en France).

                                                                         pognon de dingue – Blagues et Dessins 

     

     


    Loin de ces billevesées politiciennes, conjugaliser l’AAH c’est d’abord ne pas reconnaître

    ni la dignité de la personne handicapée ni son droit à l’autonomie, ensuite c’est faire

    supporter au conjoint les conséquences financières d’un fait dont il n’est pas l’auteur,

    enfin c’est mettre la personne handicapée (au-delà du principe d’autonomie) dans une

    profonde dépendance à son conjoint avec tous les risques physiques et psychiques que

    cela comporte. Conjugaliser l’AAH est le témoin du décalage immense en France entre

    l'apparente compassion pour la population handicapée et la prise en compte de ses

    droits humains fondamentaux.

     

                                                                                            Accessible POUR TOUS ♿ on Twitter       


    Pour beaucoup de politiques formatés Young Leaders, le partage et la compassion sont

    des belles idées à afficher devant le péquenaud moyen mais rien de plus, car ils se

    rendent bien compte qu’il va falloir payer de sa personne et ça, pas question pour

    un néo-libéral....


    Quand on voit qu’une allocation pour handicap auditif ( si généreuse par ailleurs....

    vérifiez par vous-même l’indigence de la chose...) par exemple (fermant l’accès à

    beaucoup de professions) n’est plus attribuée dès lors que la personne fait valoir ses

    droits à la pension de retraite ( si généreuse elle aussi...), on a vite compris que le

    pognon de dingue qui va directement et principalement dans les caisses des grandes

    entreprises (qu’il ne faut pas « accabler » de taxes pour favoriser l’emploi... qu’elles ne

    créent pas puisque les actionnaires sont contre...) ne peut en aucun cas venir en aide

    aux plus démunis...

     

                                                                                               Dessin de presse, dessin humoristique handicap et accessibilité

     


    C’est tellement mieux pour l’Humanité de subventionner des canons Caesar qui aidera

    un régime néo-nazi à prolonger une guerre qu’il ne peut gagner, le pognon de dingue

    ne peut pas aller partout et l’argent magique qui n’existe pas (sauf pour financer des

    tests foireux et des injections mortifères...) ne peut devenir un outil de compassion...

    Donner les clés des coffres nationaux à des fripouilles, à quoi peut-on s’attendre ?

     

    A.


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  • Suivez les coronactualités ! Humour rire et vannes sur le Corona virus !

     

    Quel bilan doit-on tirer de la pandémie, sur un plan moral ?

    Qu’est-ce que la crise sanitaire a révélé de notre rapport collectif au monde ?

     


    À la faveur du traumatisme engendré par cette longue période de confinement, nous

    entendons résonner partout un appel à la vie, à l’insouciance, à la liberté retrouvée,

    joyeuse et sans entraves. La sociabilité semble reprendre ses droits.


    L’heure du bilan moral de la pandémie devrait pourtant nous inviter à davantage de

    réserve. Les jours heureux reviendront, mais ce rapide retour à la normale témoigne

    d’une décadence tragique de notre civilisation.


    Pour Confucius, la grandeur humaine s’exprime en premier lieu par l’effort sur soi et le

    souci des autres. Celui qui a le cœur vaillant structure sa conduite de telle façon qu’il

    perfectionne son être, et cet équilibre intérieur lui permet de laisser librement s’exprimer

    sa tendance naturelle à la générosité.


    Certes, l’impéritie de nos gouvernants saute aux yeux. Il fallait être vraiment stupide et

    mauvais pour élire de tels bougres. A qui la faute, alors ? Aux gouvernants ou à

    l’ensemble de la société ?


    La première stratégie de déculpabilisation consiste à rejeter la faute sur nos gouvernants.

    Certes, leur impéritie saute aux yeux. Il fallait être vraiment stupide et mauvais pour élire

    de tels bougres.


    Les pouvoirs publics, qui n’avaient prescrit aucune mesure sérieuse au moment où

    elles s’imposaient le plus, c’est-à-dire au début de la crise, se sont alors retournés

    contre l’OMS, en lui reprochant de ne pas avoir tiré la sonnette d’alarme suffisamment

    tôt – bien que l’OMS, pendant des mois, n’ait en réalité cessé de rappeler à l’ordre les

    nations occidentales.

     


    T.I


    - Bien sûr je ne suis pas du tout d'accord avec l'auteure de cet article, qui oublie les

    multiples contaminés parfois 3 ou 4 fois malgré leurs vaccinations multiples. Elle ne

    parle pas non plus des profits immenses de Big Pharma et Cie.


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  • pourtoi #foryou #vladimirputin #zelensky #russia #ukraine #humour

     

    Le président Zelensky agace un peu plus chaque jour par ses demandes insistantes et

    ses critiques au-delà du raisonnable.

    Une attitude qui fait sortir de ses gonds Tucker Carlson l'animateur de Fox News :

    le président ukrainien a fait preuve d'un mépris total pour les intérêts américains, a-t-il

    déclaré, sous-entendant que Joe Biden, lui non plus, ne défend pas les intérêts du

    peuple américain.


    Irrité de voir l’Amérique venir en aide à l’un des pays les plus corrompus au monde,

    l’Ukraine, Tucker Carlson se désole que des milliards  soient dépensés quand le peuple

    doit se serrer la ceinture. « Les autorités ukrainiennes ont cessé de cacher qu’elles ne

    veulent que l’argent des États-Unis. Ils nous traitent avec un mépris total. Ils ne se

    soucient pas le moins du monde des États-Unis », a déclaré le présentateur TV.


    L’animateur de Fox News réagissait aux propos ahurissants de Volodymyr Zelensky qui

    considère que « l’Amérique peut se permettre de verser soixante milliards de dollars ».

    Le président ukrainien a estimé  que « sauver la démocratie en Ukraine est bien plus

    important que l’inflation et vos craintes stupides concernant l’économie ».


    Tucker Carlson, trouvant cette réponse scandaleuse, a lancé qu’il n’a rien en commun

    avec le dirigeant d’« un petit pays corrompu d’Europe de l’Est » et que les Américains

    doivent se soucier de leur pays.


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  •  

     

    Ukraine Russie, une affaire de gentils et de méchants.

     

     

     

     

    Voici l'histoire du conflit russo-ukrainien comme on pourrait la raconter aux enfants.

     

    Il était une fois, un pays très proche de la Russie. Si proche de la Russie, qu'il a

    une frontière commune avec elle. Et tellement proche de la Russie que les Etats-Unis

    ont une grosse envie d'y imposer leur influence. Ce pays, c'est l'Ukraine.

     

     

    D'y imposer leur influence, parce que les Etats-Unis, ce sont les gentils. Et l'influence

    des gentils, c'est bien! Pourquoi les gentils ? Parce que. Ce sont les gentils, et puis

    c'est tout. Et la Russie, c'est la méchante. Pourquoi la méchante ? Parce que. C'est la

    méchante, et puis c'est tout.

     

    Tout commença en 2014 où les gentils Américains fomentent avec la complicité des

    Européens – des gentils eux aussi- un coup d'état pour renverser le gouvernement

    ukrainien de l'époque, et y mettre à sa place, une équipe de marionnettes à leur

    solde. C'est la révolution de Maïdan. Ceci permettra aux gentils d'installer tranquillement

    en Ukraine des laboratoires de recherche en manipulations génétiques et

    élaboration d'armes bactériologiques. Les trafics d'êtres humains, femmes de

    prostitution et enfants pour trafics de pédophilie et commerce de GPA, étant des

    débouchés accessoires pour les élites gouvernantes des pays gentils.

     

    Très vite, l'Ukraine se voit attribuée une réputation de pays paradis de la corruption.

    Mais ce n'est pas grave, puisque cette corruption est encouragée, entretenue,

    exploitée, par des gentils. Mais ce niveau de corruption devient un jour tellement

    gênant pour le président issu de cette révolution Maïdan, que les gentils décident

    de changer de marionnette en 2019, au cours d'une nouvelle élection bien bidonnée,

    comme on sait le faire chez les gentils.

     

    Les gentils vont chercher cette nouvelle marionnette dans une série télé ukrainienne à

    succès, en la personne d'un comique qui fait montre d'un humour à la fois fin et

    distingué, en jouant sur scène au piano avec sa bite. Le comique choisi se nomme

    Zelensky. Cela permet au guignol de télé d'acquérir un titre de président et, bien entendu,

    le statut de gentil qui va avec.

     

    Accessoirement, le gentil Zelensky pourra se prévaloir au terme de 3 ans seulement de

    présidence, d'un coquet patrimoine estimé à 350 millions de dollars, sous forme,

    entre autres, de biens immobiliers un peu partout sur la planète. Bien entendu, ce

    patrimoine sera acquis au prix de quelques manipulations financières et évasions

    fiscales qui mettront le nom de Zelensky dans les tout premiers de la liste des

    impliqués dans le scandale des Panama Papers. Mais ce n'est pas bien grave,

    puisque c'est un gentil.

     

    Manque de chance, tout le monde en Ukraine n'est pas ravi des conséquences de

    la révolution Maïdan fomentée par les gentils. Notamment, la population ukrainienne

    de l'est et du sud de l'Ukraine, particulièrement dans la région du Donbass, qui est

    russophone et russophile. Evidemment, cette russophilie marquera cette population du

    sceau infâme de population méchante. Et ça renâcle pas mal dans ce coin méchant

    d'Ukraine. Ça renâcle même tellement qu'un accord finit par être signé à Minsk, en

    Biélorussie, en 2015, qui devrait conférer au Donbass une certaine autonomie,

    moyennant quoi les Ukrainiens russophones cesseraient d'être les parias de l'Ukraine

    et devraient pouvoir vivre leurs spécificités culturelles sans se faire bombarder comme

    ils l'ont été régulièrement entre 2014 et 2015.

     

    Malheureusement pour les méchants du Donbass, les gentils du gouvernement

    ukrainien n'ont jamais appliqué les accords qu'ils avaient signés à Minsk. Et le

    gentil Zelensky a continué à bombarder joyeusement les villages des méchants civils

    du Donbass, et à permettre à ses milices ouvertement nazies

    (milices Azov notamment) de mener leurs exactions à l'égard de populations civiles

    désarmées. Oui, Zelensky a, outre un gros appétit pour l'argent, des sympathies pour

    les nazis, mais, en même temps, ce n'est pas trop grave, puisque c'est un gentil.

     

    Le méchant Poutine a eu beau pendant des années dénoncer le non-respect des accords

    de Minsk et ces persécutions aux dépens de populations qui lui sont plutôt proches et

    situées juste derrière sa propre frontière, rien n'y a fait. Les gentils des gouvernements

    européens et américain ont continué de regarder ailleurs pendant huit longues années.

     

     

     

    Jusqu'au jour où, en février 2022, n'en pouvant plus de cette situation, le méchant

    Poutine décide d'intervenir militairement. Ses armées vont très vite jusqu'à la capitale

    ukrainienne Kiev, histoire de montrer qu'il pourrait conquérir toute l'Ukraine si tel

    était son désir. Mais comme son objectif est ailleurs, il concentre son offensive sur le

    Donbass qu'il entend libérer de l'oppression du gentil Zelensky.

     

    Ce dernier se prend militairement raclées sur raclées et se tourne en panique vers les

    autres gentils qui l'ont propulsé là où il est. « Donnez-moi du matériel, donnez-moi

    du pognon, beaucoup de pognon ! »

     

    Et les gentils européens lui répondent : « Bien sûr ! Voilà du matériel, et voilà du

    pognon de nos contribuables qui sont ravis de t'aider. Et tu penses bien qu'ils ne

    demandent que ça! Entre gentils, c'est bien naturel de s'entraider ! » Et ils ajoutent :

    « Et on va punir la méchante Russie du méchant Poutine. On va confisquer ses

    avoirs, on va l'empêcher de commercer avec le monde entier, et puis on va arrêter de

    lui acheter du pétrole et du gaz ! On va anéantir l'économie de la méchante Russie ! Na ! »

     

    Six mois plus tard, les gentils européens chouinent : «  Ouinnnnn, on va manquer de

    pétrole, on va manquer de gaz cet hiver ! Ça va affecter notre économie, installer la

    pénurie, nous obliger à imposer le rationnement ! »

     

    Et la méchante Russie voit sa monnaie se porter comme jamais. Elle n'est pas endettée,

    ses revenus commerciaux n'ont jamais été aussi haut, son pétrole et son gaz se

    vendent très bien partout ailleurs sur la planète. Le méchant Poutine est en train

    d'asseoir son autorité sur les provinces de l'est de l'Ukraine où les populations sont en

    liesse quand elles accueillent l'armée russe, rappelant ainsi l'accueil que réservaient

    les Normands aux GI américains en août 1944.

     

    Pour le gentil Zelensky en revanche, ça commence à sentir le roussi. Ses armées

    battent en retraite un peu partout, les désertions se multiplient. Il est obligé de

    mobiliser des hommes de plus en plus jeunes et de moins en moins formés.

    La population civile ukrainienne commence à comprendre la folie dans laquelle leur

    gentil président est en train de la mener. Ce gentil président se voit maintenant

    cerné par des « traîtres » qui veulent sa peau. Des procureurs, juges, hauts

    fonctionnaires sont licenciés par dizaines, des membres de l'Etat-major des armées

    sont arrêtés, des attentats sur sa personne sont déjoués in extremis.


    En complète panique, il dénonce aussi des projets d'attentat en provenance du camp occidental ! Probablement de gentils qui trouvent que leur marionnette est aujourd'hui en obsolescence prématurée et qu'il est peut-être temps de lui trouver un remplaçant ?

     

     

    Bref, le camp des gentils est en train de se prendre une tôle historique :

    tôle militaire, tôle économique, tôle géopolitique. Et c'est le camp des méchants qui la lui

    met. 

    C'est trop inzuste !!

     

    S.P

     


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