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Le syndrome de la grenouilleImaginez une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage tranquillement unegrenouille. Le feu est allumé sous la marmite, l’eau chauffe doucement. Elle est bientôttiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue de nager. La températurecontinue de grimper. L’eau est maintenant chaude. C’est un peu plus que n’apprécie lagrenouille, ça la fatigue un peu, mais elle ne s’affole pas pour autant.L’eau est cette fois vraiment chaude; la grenouille commence a trouver cela désagréable,mais elle s’est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien. La température continue demonter, jusqu’au moment où la grenouille va tout simplement finir par cuire et mourir.Si la même grenouille avait été plongée directement dans l’eau à 50 degrés, elle auraitimmédiatement donné le coup de patte adéquat qui l’aurait éjectée aussitôt de la marmite.Cette expérience montre que, lorsqu’un changement s’effectue d’une manièresuffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart de temps aucuneréaction, aucune opposition, aucune révolte.Si nous regardons se qui se passe dans notre société depuis quelque décennies, noussubissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons.Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont été peu à peubanalisés, édulcorées, et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrémentindifférent la plupart des gens.AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à ladignité du vivant, à l’intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre, s’effectuentlentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes oudémunies.Les noirs tableaux annoncés pour l’avenir, au lieu de susciter des réactions et desmesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter desconditions de la vie décadente, voire DRAMATIQUE. LE GAVAGE PERMANENTd’information de la part des médias sature les cerveaux qui n’arrivent plus à faire la partdes choses. Lorsque j’ai annoncé ces choses pour la première fois, c’était pour demain.Là, C’EST POUR AUJOURD’HUI.Alors si vous n’êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuit, donnez le coup depatte salutaire avant qu’il ne soit trop tard.
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C'est grâce à la Politique du Gouvernement qui a maitrisé l'épidémie, que les touristes reviennent.... On avait craint une
baisse de fréquentation du tourisme ! Ouf ! On est sauvé !
DIEU MERCI " les touristes reviennent ..! c'est pas troptôt !
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ET PIS C'EST TOUT!
C'EST CE QUE NOTRE GOUVERNEMENT APPELLE :
" UNE RICHESSE POUR LA FRANCE"
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L’autre « étrange défaite »
Un désastre. C’est tout simplement un désastre que vit actuellement la France. Le mot« crise » ne suffit plus à définir la situation présente.
La France vit des heures de désillusion aussi profonde que celles qu’elle avait connuesen mai 1940. La France pensait avoir le meilleur système de santé du monde, comme elle
était convaincue d’avoir la meilleure armée du monde en 1940. Et puis, sous nos yeux,
tout s’est effondré à une vitesse inimaginable. On se demandait pourquoi la France avait
manqué d’avions efficaces, d’armements modernes comme des chars d’assaut, et
pourquoi les soldats portaient encore des bandes molletières alors que les soldats
allemands avaient des bottes en cuir.
Aujourd’hui, on s’interroge pour comprendre pourquoi il n’y a pas assez de masques,pourquoi il n’y a pas assez de respirateurs artificiels, pourquoi la France est obligée
d’importer les produits réactifs pour fabriquer des tests de dépistage. On perd notre
temps à discuter de problèmes d’intendance qui n’auraient pas dû exister si le système
de santé français était vraiment le meilleur du monde. Mais le système de santé français
n’est pas le meilleur du monde. La France n’est plus un grand pays, mais une petite
nation mesquine, bouffie d’orgueil et de prétention. Et en face d’un virus microscopique,
l’orgueil et la prétention, ça ne sert à rien.
Il faudra alors se poser la question de savoir pourquoi un tel désastre. On ne peuts’empêcher de se tourner vers la fameuse Étrange Défaite, de Marc Bloch, qui, ayant
vécu la défaite de 40 de l’intérieur, se posait la question de savoir pourquoi cela avait
été possible. Et cette catastrophe en cours nous amène inévitablement aux mêmes
conclusions : incompétence, inorganisation, absence de vision à long terme,
improvisation. En résumé : nullité de nos dirigeants, et en particulier de ceux en charge
du système de santé français.
Cette génération de hauts responsables de la santé en France est en train d’entrer dansl’Histoire comme les généraux de l’armée française en 40. Une caste de petits chefs, de
techniciens imbus de leur position, de leur suffisance, qui, face au coronavirus, avaient
une guerre de retard, comme la plupart des généraux de 1940, qui se croyaient encore en
1918.
Ceux qui en payent le prix, ce sont les morts de plus en plus nombreux, mais aussi lesmédecins et soignants qui se sacrifient en y laissant leur peau, pour rattraper des erreurs
dont ils ne sont pas responsables. C’est toujours le troufion de base qui paye de sa vie la
nullité de sa hiérarchie.
La France n’est plus un grand pays, mais une petite nation mesquine, bouffie d’orgueil etde prétention
Cette injustice insupportable, il faudra en répondre d’une manière ou d’une autre. Leprésident de la République a très vite comparé cette épidémie à une guerre. Cela pouvait
sembler habile, afin de mobiliser la nation entière contre le terrible ennemi. Mais cette
comparaison se retourne déjà contre ceux qui croyaient en tirer parti. Car en face d’un tel
désastre, on ne pourra pas se contenter de quelques gerbes de fleurs et d’une
distribution de Légions d’honneur. Le besoin de justice est le sentiment qui structure une
société. Quand il est bafoué, ce n’est pas seulement le système de santé français qui
s’effondre, mais la totalité de l’édifice."
R.
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A prendre ou a laisser.
(article utopiste .....ou pas.)
Vous êtes en ce moment même à un carrefour des plus importants de l’histoire de
l’humanité. Comment prendrez vous ce virage ne dépend que de vous.
Nous voudrions vous rappeler qu’il y a 12 000 de vos années, un continent disparaissaitalors que ses habitants s’engloutissaient malgré leur technologie hautement performante.
Ils avaient élevé le pouvoir et la technologie à un tel point qu’ils en avaient fait des dieux.
Aujourd’hui vous êtes à la fin d’un cycle de 25 000 ans et d’un autre cycle plus court de12 000 de vos années. Certains des êtres qui ont assisté à la fin du continent englouti
sont revenus afin que ceci n’arrive plus. Ils œuvrent pour une humanité qui allie la
conscience et la science…
Vous ne pouvez cependant ignorer que d’autres êtres habités par la course à lapuissance absolue ont déjà essayé de vous réduire à l’esclavage. Une tentative a été mise
en place avec le mouvement nazi. Peut-être cela vous semble-t-il lointain mais sur nos
plans il ne s’agit que d’un instant.
La planète Terre et ses habitants sont depuis bien des années un enjeu important : fairede cette planète un lieu de vie pour certains des frères et Sœurs de l’espace n’est pas un
secret mais ceux et celles qui convoitent la terre convoitent aussi ses habitants.
Les terriens ont des capacités que ne peuvent avoir les robots aussi sophistiquéssoient-ils. Il est donc essentiel pour ceux qui souhaitent vous réduire à l’esclavage de
garder les plus utiles d’entre vous et d’en retirer toute humanité.
Vous pensez sans doute aux masques lorsque nous disons cela mais il y a bien d’autreséléments plus importants que vous ignorez encore.
Le virus qui effraie une bonne partie d’entre vous n’est que l’une des pièces d’uneénorme manipulation préparée depuis des années de votre temps.
Tous les secteurs de votre monde sont infiltrés par des êtres hybrides, par d’autresvenant de planètes en perdition et par le petit pourcentage de pions vieillissants qui
pensent diriger votre monde.
La santé, l’économie, les religions, l’éducation, l’agriculture, bref, le monde n’a d’intérêtpour eux que pour sa rentabilité.
Leurs cerveaux sont clonés et parasités par des entités au service des conquérants desétoiles sombres. Ils ne sont pas eux-mêmes, ils ne sont qu’un pâle reflet d’une
humanité sur le déclin.
Votre « guerre » n’est pas une guerre terrestre mais un conflit qui touche bien d’autresplanètes.
Vous participez sans le vouloir consciemment à une « guerre des étoiles ».
Nous précisons « consciemment » car et vous le savez, si vous vous êtes incarnés àcette époque précise, c’est bien parce que vous avez décidé d’être les artisans de la
liberté.
Les pions vieillissants et leurs subordonnés qui vous gouvernent et qui espèrent sedébarrasser des « inutiles » comme ils considèrent la plupart d’entre vous avec mépris
vivent dans un espoir : celui de devenir immortels et d’être les maîtres de ce monde et
d’autres mondes.
Ils rêvent de conquérir les mondes et laissent en contrepartie la terre et ses habitants auxmains de ceux d’autres planètes pour qu’ils en fassent ce que bon leur semble.
Il s’agit d’un acte commercial pour eux tous, que nous appellerons un marché de« dupes » pour reprendre vos mots d’où personne ne sortira gagnant.
Ils craignent votre réveil, ils ont peur de votre spiritualité et de votre humanité.
Ce qu’ils souhaitent vous injecter est une technologie des étoiles qui limitera lesconnexions entre vos différents corps afin de vous déshumaniser.
Craignez cela bien davantage que la maladie que l’on agite dans vos médias vendusaux plus offrants.
Vous avez en vous toutes les possibilités pour que ceci n’arrive pas et que le reset dontcertains parlent soit à votre avantage.
Gardez votre humanité, laissez votre peur au vestiaire.
Que craignez-vous ?
De mourir sans aucun doute, mais la peur est plus meurtrière que n’importe lequel de vosactes d’insoumission.
Soyez des insoumis, reprenez votre pouvoir. Certains des nôtres sont parmi vous pourvous aider à faire fleurir une terre nouvelle.
Organisez-vous, rencontrez-vous, vivez et refusez ce que vous considérez commeinacceptable.
Des évènements inattendus vous y aideront mais ne les attendez pas, faites ce que vouspensez être juste à votre niveau et ne vous inquiétez pas des nouvelles du monde
données par les « médias communs »
Nous vous aimons et nous vous saluons.
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